Le stéréotype, une notion des idéologues du genre

Les idéologues du gender parlent souvent de stéréotypes et disent vouloir les déconstruire. Que revêt cette notion ? En quoi est-elle importante dans le projet de ces idéologues ?

En fait, les féministes de la culture du gender ont transformé en stéréotypes, dans le but stratégique de tenter de les déconstruire, les réalités de l’homme et de la femme.

Car notre culture aurait rejeté une attaque frontale contre la maternité, la paternité, la féminité, la masculinité, toutes choses que les pro-genre entendent déconstruire dans le cadre de leur projet.

Les avocats du gender ont donc transformé en stéréotypes sexistes (stéréotypes de genre, ou stéréotypes sexuels) :

– la féminité et la masculinité : êtres, rôles, gestes, remarques, attitudes, dons, apparences, habits, métiers…. féminins et masculins
– la maternité et la paternité
– la famille fondée sur le mariage entre un homme et une femme, constituée d’un père, d’une mère et de leurs enfants
– l’homme, le père et l’autorité paternelle
– le corps sexué féminin ou masculin (mode des nouveaux-nés neutres : ni-garçon, ni-fille)
– la rationalité masculine et l’empathie féminine (Cf. les travaux passionnants du Professeur Simon Baron-Cohen). Les féministes du genre estiment que le stéréotype féminin dominant dans la majorité des cultures est celui de la femme épouse et mère – un stéréotype qui appartiendrait au système patriarcal et serait, selon elles, négatif, discriminatoire, restrictif, contraire à l’égalité, faisant de la femme un être inférieur et une victime, et empêchant son autonomisation (empowerment).

De fait, quelle politique internationale et nationale aujourd’hui favorise inconditionnellement la maternité, la paternité, le couple, la famille, le mariage ?

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25 Comments

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  • JSG , 28 janvier 2014 @ 5 h 57 min

    Derriere cette théorie fumeuse se cache ce qui régit les individus composant la société occidentale actuelle :

    L’IRRESPONSABILITÉ , LA LÂCHETÉ , LA PREUVE QUE SES APÔTRES DE S’ASSUMENT PAS.

    Si ces admirateurs des gastéropodes risquaient leur vie, quand ils influent sur les codes de la société actuelle, ce genre d’idées destructrices, resteraient dans le “cerveau” de ces lâches irresponsables.

    On peut comparer cette fallacieuse idée du gender, à cette politique de l’attentat, qui tue des enfants, des femmes, des innocents, banalisé par nos médias qui assimilent cette façon d’être à une forme de guerre, dite guerre des pauvres ?

    Un exemple dans le comportement du ministre de “l’éducation nationale”, dont les idées qu’il considère comme LA VÉRITÉ, ne sont pas encadrées et imposées à des enfants !

    Que n’existe-t-il pas dans notre société, un vrai comité des sages composé uniquement de vieux qui aurait tous les pouvoirs pour faire barrage à ces crétins, imbus d’une “culture” reçue et dont ils n’ont, pas perçu les dangers.

    JSG

  • Ratchayaporn , 28 janvier 2014 @ 6 h 54 min

    Cette theorie du genre va faire des ravages si elle appliquait dans les ecoles des la maternelle, parce qu’ il s’agit d’une veritable mise sous conditionnement des enfants sous “leurs stereotypes” a eux contre les stereotypes de la loi naturelle. Ils veulent combattre les notres et les remplacer par les leurs plus sexistes, plus destructurants encore.
    On peut a peine y croire quand on lit ces affirmations delirantes et s’ils ne possedaient les pouvoirs de la parole, des lois et des actes, on pourrait simplement les faire interner ou les faire condamner pour tentative de meurtre intellectuel . On va devoir se battre contre eux, ferocement. Nous devons nous y preparer afin qu’ils ne puissent pas l’imposer aux populations indifferentes qu’ils sont en train d’affamer pour les assouvir mentalement.

  • jejomau , 28 janvier 2014 @ 7 h 09 min

    Contre le genre et pour que les enfants restent nos enfants dans le familles , civitas lance une pétition :

    http://www.civitas-institut.com/content/view/1099/1/

  • JSG , 28 janvier 2014 @ 8 h 36 min

    Merci, très utile.

  • Observateur , 28 janvier 2014 @ 9 h 35 min

    Vous savez, le concept a été battu en brèche partout où il est apparu, des Etats-Unis en passant par la Norvège et l’UE (qui pour le coup s’est rendue moins avilissante). La France est sans doute le dernier bastion des idéologues des théories du genre, j’écris “des” parce qu’ils ont coupé le cheveu en douze depuis qu’on leur a attribué des champs “d’étude” de mise en application du bousin en plusieurs secteurs. Ce qui leur permet de changer leur jargon et de prétendre que la chose n’existe pas alors qu’ils ont simplement changé l’emballage pour tenter d’avancer en catimini dans les écoles, ce qu’ils feront jusqu’à ce que les français les boutent.

    En passant même les gens ordinaires (donc non informés et ouverts aux quatre vents) subodorent l’escroquerie et la mauvaise odeur de ces politiques façon “éduCons vos enfants”, et à proprement parler il est difficile de trouver des populations réceptives, à part chez les très marginaux et fort peu représentatifs individus à l’orientation sexuelle marginale qui travestissent leurs gosses ou les bourrent d’hormones comme cela s’est vu dans de fameux cas d’école recensés par la presse ici et là et non relayés par nos chères serpillières médiatiques, comme d’habitude.

  • samovar , 28 janvier 2014 @ 9 h 47 min

    Oui c’est le danger qui me préoccupe le plus pour nos enfants et petits-enfants. Celui d’un embrigadement et d’un lavage de cerveau irrémédiables …

  • Nelaighys , 28 janvier 2014 @ 9 h 54 min

    L’heure est grave certes et toute initiative est bonne à prendre. C’est ainsi que “La journée de retrait de l’école” que propose Farida Belghoul pour l’interdiction du gender à l’école, semble particulièrement pertinente. (http://www.jre2014.fr/)
    Si l’action est organisée et concertée,elle peut avoir un impact certain, permettre au monde enseignement d’entrouvrir, disons un oeil, permettre à un plus grand nombre de désacraliser les programmes et l’obligation scolaire, les parents étant tétanisés devant la toute-puissance dont ils créditent l’institution scolaire. Mon expérience de mère de famille me fait dire que la réussite professionnelle mais surtout humaine de mes enfants tient plus aux activités extra-scolaires et familiales dont ils ont bénéficié qu’à leur assiduité scolaire;
    Cette prise de conscience de la primauté des parents concernant l’éducation de leurs enfants est également nécessaire pour contrer les atteintes aux possibilités de l’école à la maison: d’une pierre faisons deux coups!

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