VIDÉO | Comment la pilule a déséquilibré toute l’économie de la sexualité

À cause de l’avènement de la pilule contraceptive qui institutionnalise la dissociation entre rapports sexuels et procréation et parce qu’hommes et femmes n’ont pas la même psychologie, une grande partie de la population (en majorité des hommes) recherchant des expériences sexuelles sans lendemain n’arrive plus à s’accorder avec une autre grande partie (en majorité des femmes) qui espère, elle, s’engager, se marier et fonder une famille. C’est à cause de à ce déséquilibre que le célibat est en train de devenir une quasi-norme, notamment chez les jeunes ou en milieux urbains, et que prospèrent les sites de rencontre qui ne sont pas un mal en soi, juste le symptôme. À cause de la banalisation de la pilule contraceptive, désormais, ce ne sont plus les hommes qui sont mis en concurrence pour conquérir le coeur d’une femme mais les femmes qui se battent pour convaincre un homme de s’engager avec elles. Pas sûr qu’elles sortent gagnantes de cette inversion qui ne respecte pas la psychologie de la femme et de l’homme. Le ton humoristique (mais jamais lourd) de ce petit film d’animation en anglais produit par le think tank Austin Institute for the Study of Family and Culture permet de vulgariser les travaux de psychologues et d’économistes aussi prestigieux que Roy Baumeister, Kathleen Vohs, Timothy Reichert, et George Akerlof. À regarder en couple, ou pas… pour mieux comprendre le pétrin dans lequel la soi-disant libération de la femme nous a tous, j’écris bien ‘tous’, fourrés. Pour approfondir, cliquez ici.

 

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67 Comments

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  • Smarties , 23 février 2014 @ 21 h 27 min

    Il faut arrêter cette immigration et imposer la modulation des naissances en Afrique comme en France.

  • Smarties , 23 février 2014 @ 21 h 35 min

    @Alfred :

    Je suis un libre penseur.

    Vous n’êtes pas malthusien, mais manichéen lorsque vous croyez devoir mettre les gens dans des cases.

    NDF ne vous aide pas, car NDF est uniquement là pour planifier le retour de Sarkozy au pouvoir.

    Donc ils clivent, ils jouent le jeu de la dualité, comme le font les malthusiens et socialistes.

    Ni socialisme, ni capitalisme.

    Ni communisme, ni libéralisme.

    Ni centrales atomiques, ni éoliennes.

    Ni mariage pour tous, ni propagande du genre.

    Ni darwinisme, ni créationnisme, le morphogénétisme.

    Ni catholicisme, ni franc-maçonnerie.

    Ni islam, ni judaisme.

    Ni république, ni nouvel ordre mondial.

    Ni écoles, ni anarchisme.

    Ni bombe atomique, ni dissolution de l’armée.

    Ni homosexualité, ni hétérosexualité.

    Ni Aristote, ni Voltaire.

    Ni UMP, ni PS.

    Je crois sur les commentaires de ndf, être le seul représentant des nouveaux paradigmes du 21ème siècle, de la logique multivalente.

    Etat de ce qui est et n’est pas en même temps.

    Un paradoxe, qui n’est que celui de notre existence.

    http://www.youtube.com/watch?v=6jWZ-8Pt0Ck&feature=youtu.be

  • Eric Martin , 23 février 2014 @ 21 h 49 min

    NDF.fr comme outil de retour de Nicolas Sarkozy au pouvoir ? Si seulement le prochain président avait nos idées…

  • Smarties , 23 février 2014 @ 21 h 57 min

    @Sully :

    Votre commentaire démontre une certaine irresponsabilité des auteurs des articles sur ndf.fr.

    Vous me classez parmi les féministes, pourquoi ?

    Parce qu’on vous apprend à mettre les gens dans des cases !

    Sur ndf.fr comme à la télévision ou dans les écoles de la république.

    Lisez mes nouveaux commentaires plus haut qui répondent aussi un peu à votre remarque, je suis un libre penseur.

    Je ne pense pas selon les paradigmes de la télévision, de la république, de ndf.fr ou de qui que se soit, je pense par moi même.

    J’entends que chacun en fasse désormais de même.

    Cela suppose pour commencer de considérer l’autre indépendamment de sa filiation idéologique d’origine ou supposée.

    Dans votre commentaire, êtes-vous bien certaine de parler d’amour ?

    Lorsque vous me parlez de sexualité, je ne suis pas certain que vous parlez d’amour.

    Car l’amour divin, est amour inconditionnel.

    Donc, lorsqu’il y a recherche du plaisir sexuel, il y a un but, qui n’est déjà plus l’inconditionnalité.

    Comme je vous le disais naivement, je ne sais pas où placer la sexualité, je ne sais que faire avec cela, entre le déchainement de la passion qui mène à l’esclavage et le renoncement total à la sexualité, qui est difficilement réalisable sans une connexion directe avec le divin.

    Lorsque vous êtes enfant et que vous avez pour la première fois une éjaculation par exemple, cela vous surprend, cela n’est pas prémédité.

    L’acte sexuel, ici l’éjaculation, est la conséquence de votre innocence et non votre objectif.

    Sublimer la sexualité c’est peut-être se mettre en tailleur l’un face à l’autre, prendre les mains l’un de l’autre et prier ou méditer pendant plusieurs heures.

    Ce qui est la philosophie d’un certain tantrisme en Inde, peut-être, qui n’a rien de commun avec le tantrisme sexuel qu’on croit pratiquer en Occident.

    Je suis très mal placé pour parler de tout cela, je n’ai que des questions à poser et peu de réponses.

    Mais la sexualité clitoridienne, est la recherche d’un plaisir physique, tout comme la masturbation masculine et tout cela n’est pas amour inconditionnel, n’est pas la conséquence de cet amour inconditionnel, car il y a pour objectif d’atteindre le plaisir physique.

    Donc, je ne suis pas du tout féministe, lorsque je vous expose cette pratique néo-monacale de la sexualité, qu’a été une forme de tantrisme, peut-être, en Inde et qui n’existe pas dans le christianisme.

    Le christianisme ne parle pas de sexualité, Jésus n’avait pas de sexualité.

    Pourtant la sexualité existe, alors, que faisons nous avec cela ?

    Pour le moment j’essaie de retrouver l’innocence de l’enfant qui découvre la sexualité, sexualité qui est alors la conséquence de son innocence et non un outil pour mener à l’objectif compulsif qu’est le plaisir physique, l’orgasme physique.

    Dans votre commentaire, vous me parlez d’une technique, vous me parlez des préliminaires.

    Cela n’est que de la technique.

    D’autant plus que vous me dites, qu’il faut pratiquer cette technique, qu’il faut pratiquer ces préliminaires !

    C’est donc bien qu’il y a un but, qui n’est pas l’amour inconditionnel, mais qui est l’obtention du plaisir physique !

    Il y a un livre qui n’est pas trop mauvais :

    “Comment faire l’amour de manière divine”.

    Peut-être est-ce une voie à étudier.

    Lorsque on a pour but de pratiquer le sexe, on est déjà dans la compulsion, déjà dans une forme d’esclavagisme.

    Ce qu’il faut peut-être, c’est, ne jamais avoir pour but de pratiquer le sexe, mais d’accepter lorsque le sexe est la conséquence d’un échange d’amour inconditionnel.

    Tout comme lorsqu’un enfant découvre qu’il a une érection pour la première fois, alors qu’il ne pensait pas au sexe.

  • Alainpsy , 23 février 2014 @ 22 h 22 min

    Pour ce qui est du taux de femmes musulmanes seules avec enfant (s), ce taux est à mettre en rapport avec l’attribution de l’allocation de parent isolé, d’autant que, là où même les policiers évitent à s’aventurer, il est évident que les inspecteurs de la caf ou autres ne s’y risquent pas, de l’aveu même de ces derniers. D’ailleurs, pousser plus loin les investigations relèverait, selon les cerveaux gaucho-généreux bien faits, du plus odieux des racismes. Contribuables, à vos marques, prêts, payez…

  • Alainpsy , 23 février 2014 @ 22 h 45 min

    J’aurais tendance à penser désormais que la multiplication des conquêtes, pour un homme comme pour une femme, est une pathologie. L’insatisfaction affective qui surgit lors de chaque conquête, l’impossibilité d’éprouver un sentiment profond pour l’autre, manque insupportable qui rend la solitude inéluctable, doit être masquée par la volonté fabriquée de conquérir et triompher de la sexualité de l’autre.

  • Eric Martin , 24 février 2014 @ 1 h 08 min

    Je ne suis pas sûr que la sexualité d’un “Don Juan” ou d’une “pétasse” soit à la hauteur de celle d’un homme ou d’une femme mariée qui connaît par coeur son conjoint et que son conjoint connaît par coeur. Les premiers que je connais sont frustrés quand ils atteignent les 30 ans et ne le cachent pas…

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