Gay pride de Budapest : un député hongrois attaque en justice les parents qui ont emmené leurs enfants

Nouvelles de France avait publié en exclusivité pour la France un certain nombre de photographies de la gay pride de Budapest, dont certaines étaient pour le moins choquantes, donnant une autre image que celle mise en avant par les promoteurs des « prides » et autres activistes LGTB.

Gergely Kulcsár, député hongrois du parti nationaliste Jobbik, vient de déposer plainte auprès du procureur de Budapest. Il explique dans son communiqué que le code pénal hongrois indique que si un parent ou un tuteur légal d’un enfant met en danger le développement physique, mental, moral ou émotionnel de l’enfant dont il a la charge, il encourt une peine de prison de un à cinq ans, et considère que les parents ayant emmené leurs enfants à la gay pride ont effectivement commis de tels actes.

Le Jobbik avait décidé de ne pas participer aux contre-manifestations de la gay pride, tout en indiquant que ses adhérents et élus étaient parfaitement libres d’y participer, sans toutefois porter sur eux de signes distinctifs de leur appartenance au Jobbik. Son Président Gábor Vona s’en est expliqué en affirmant qu’il ne souhaite pas donner en offrande aux médias libéraux hongrois la possibilité de dénigrer le Jobbik, tout en reconnaissant qu’il comprenait que l’absence officielle de son parti aux contre-manifestations suscite des critiques, et que selon lui la seule issue raisonnable et satisfaisante à ce problème serait une interdiction pure et simple de la gay pride, comme cela se fait à Moscou ou dans d’autres pays.

La plainte en question :

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54 Comments

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  • xtemps , 21 juillet 2013 @ 14 h 37 min

    J’ai connu des homos qui étaient contre la gay prit,le mariage gay,l’adoption des enfants,la théorie du genre et les tenues indécentes.
    Apparemment,il y a des homos bien élevé et d’autres pas,que la politique Européenne mené est dictatorial et non démocratique,depuis les accords de Maastricht(voir sur site : l’exception d’irrecevabilité des accords de Maastricht par philippe Séguin à l’assemblée National le 5 mai 1992).
    Félicitation à la Hongrie!

  • Yaki , 21 juillet 2013 @ 15 h 38 min

    Vos “bons” homos sont ceux que vous ne voyez pas, qui n’ont aucun droit, sinon de se faire taper dessus, voire bruler, comme le réclament encore certains …

  • Gisèle , 21 juillet 2013 @ 16 h 44 min

    Régénération ? ou simple arme de guerre froide entre l’ Est et l’ Ouest ???

  • monhugo , 21 juillet 2013 @ 17 h 55 min

    L’uraniste ne devrait pas avoir plus de droits que (exemple pris au hasard) l’ondiniste ou tout autre “paraphile”.Tout ce petit monde peut faire ce qu’il veut dans son particulier, avec le (ou les) partenaire(s) de son choix, dès l’instant que tout le monde est d’accord et qu’il s’agit d’adultes. En matière de curiosa, la licéité des comportements est à apprécier à la seule aune envisageable, celle du droit pénal. Il fallait évidemment en rester là. Exiger du droit civil que tel ou tel comportement sexuel donne DROIT au mariage, c’est proprement marcher sur la tête. Le mariage était “famillinormé”. La norme nouvelle en “mariage” est la sexualité en général, pour l’instant envisagée comme nécessairement licite (car ignorée du droit pénal) et à pratiquer à 2 seulement (ce qui est aberrant, car la partouze est licite comme mode de vie, entre adultes consentants), sans lien équivalent encore (ou toujours) existant, en combinaison à âge minimum (majorité civile) et sans “inceste” (ce qui est aberrant, puisque l’inceste est tout aussi licite que l’homosexualité entre adultes consentants, en France).

  • Yaki , 21 juillet 2013 @ 18 h 01 min

    Le jour où vous aurez compris que l’homosexualité n’est pas un choix, vous aurez fait un grand pas.
    Avez-vous choisi d’aimer les hommes ?

  • monhugo , 21 juillet 2013 @ 18 h 51 min

    Le jour où vous, vous aurez enfin compris que “l’amour” (en fait la sexualité) ne donne aucun DROIT, sauf celui de faire dans la plus stricte intimité ce que l’on veut, avec qui l’on veut, dans les conditions posées par le seul droit PENAL, vous aurez “avancé”. Mais je vous en crois incapable, car l’idéologie et ses oeillères ne permet pas de raisonner sainement.

  • monhugo , 21 juillet 2013 @ 19 h 00 min

    Le “bon” homo, c’est celui qui est discret sur sa sexualité (comme tout un chacun se doit de l’être), n’est en aucun cas prosélyte (pas de déballage de “fiertés” sur la voie publique ; pas de propagande en direction des mineurs innocents) et sait que l’humanité n’étant pas faite “d’orientés sexuels”, mais d’hommes et de femmes qui fondent des familles pour assurer le passage de témoin entre les générations et l’enracinement humain indispensable à l’équilibre général, sa sexualité “différente” ne lui donne aucun droit d’accès justifiable au mariage, qui n’est fait que pour ces familles, sauf par la plus éhontée des idéologies. Tout le monde n’a pas “droit” à tout et n’importe quoi.

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