Voici le rapport de l’Inspection générale de l’administration sur l’affaire Leonarda : le « père » ne parle pas français (au bout de 5 ans en France). L’appartement fourni – gracieusement (alors que tant de Français attendent en vain depuis des années un logement HLM) est une porcherie sans nom (travaux conséquents nécessaires après leur départ pour remise en état des locaux), il y a au bas de l’immeuble « plusieurs » (??) véhicules hors d’usage appartenant à Dibrani. Celui-ci s’est fait une spécialité d’injurier (même dans son sabir, il n’y a aucun doute) travailleurs sociaux et enseignants. Enfin le fin mot de la scolarisation de l’ensemble assujetti de la tribu (entre 6 et 16 ans) : absences « répétées » ! « Absence sérieuse de recherche d’emploi », en dépit de nombreuses possibilités dans l’arrondissement de Pontarlier. Vivait principalement sur les « allocs » diverses (Caf, ASE). Se disait « chauffeur-routier », mais n’a jamais passé le permis nécessaire – pourtant payé à deniers publics, vraisemblablement. A fourni 3 versions différentes du pourquoi il ne pouvait fournir de documents d’identité. Etc. « Pas de réelle volonté de s’intégrer à la société française ». Sans blague ?
« La demande de Dibrani de se voir reconnaître le statut de réfugié a été rejetée par trois fois dont une en appel, il n’a pas respecté les mesures administratives prises à son encontre (2 obligations de quitter le territoire et une obligation de pointage), tous ses recours devant les juridictions ont été rejetés. » Il ne restait que l’instrumentalisation de Leonarda à tenter. Fait. Et avec quel succès !
Un petit extrait, pour la route :
(merci à monhugo)
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