Victimes de Brétigny-sur-Orge dépouillées par des «jeunes» des cités : le sinistre des Transports minimise

Le ministre des Transports Frédéric Cuvillier a minimisé fortement le dépouillement de victimes de la catastrophe ferroviaire de Brétigny-sur-Orge en évoquant samedi sur Itélé des “actes isolés” et parlant d’“une personne interpellée”, d’“une tentative de vol de portable” d’un secouriste, de “pompiers qui, par petits groupes, ont été accueillis de façon un peu rude”. Sic. Mais de “véritables actes commis en bande, non”, a dit le ministre qui a ajouté qu’“à (sa) connaissance”, il n’y avait pas eu “de victimes dépouillées”. Un ministre aussi mal renseigné, cela fait peur…

Sur le terrain, les réactions sont toutes autres. Dans un tweet, le député PS de l’Essonne Jérôme Guedj dénonce les “sombres crétins inhumains (qui) ont manifestement profité de la cohue pour voler téléphone(s) portable(s) et des bagages”. “Ne rien minimiser. Ne rien taire. Mais ne rien exagérer non plus (pas de scène de pillage, dixit des secouristes)” continue dans un autre message l’élu. Hugo Clément, “reporter à France 2”, déclare quant à lui sur Twitter :

Sur Europe 1, une déléguée du syndicat de police Alliance a fait état vendredi soir de la présence un quart d’heure après la catastrophe d’un groupe de jeunes “(semblant) porter secours aux victimes” mais qui auraient eu en fait l’intention de “dépouiller les victimes et notamment les premiers cadavres”. Les secouristes ont également essuyé des jets de pierres venant d’un petit groupes de “jeunes”, selon le terme consacré.

Addendum 9h22 : le sujet de BFM TV, hier soir :

Photo : Hugo Clément, Twitter.

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149 Comments

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  • Gisèle , 13 juillet 2013 @ 19 h 32 min

    Paris et les grandes villes , mais aussi les villes moyennes et les petites villes sont gangrénées . Proportionnellement à leur importance , sachez le .
    Même les petits villages de campagne ne sont pas à l’ abri . Les bandes y descendent .

  • Gisèle , 13 juillet 2013 @ 19 h 43 min

    @Robert
    ça va pas non ???
    De quel droit parlez vous comme cela ????
    Heureusement que MON Eglise existe .
    Heureusement que les moines étaient là pour défricher .
    Heureusement que les religieuses étaient là pour s’occuper des malades dans les hôpitaux .
    Heureusement que les congrégations étaient et sont là pour recueillir les orphelins dans les pays pauvres comme Haïti .
    Heureusement que les petites infirmeries existent dans certaines zones reculées d’Afrique et d’ailleurs .
    L’Eglise de la terre a été fondée sur le roc mais elle est composée d’humains qui ne sont pas parfaits . Le Christ le sait et le savait . Mais je ne vais pas vous en écrire des pages .
    Je garde ma foi et mes convictions malgré les aboiements . Et jamais je ne dénigrerai mon Eglise .
    Ni vous , ni moi sommes parfaits . Vous voulez jeter la première pierre si vous voulez ! Moi non !

  • Martel , 13 juillet 2013 @ 22 h 10 min

    Bravo

  • Martel , 13 juillet 2013 @ 22 h 16 min

    Un article de Jean Raspail datant de 2004
    Tout est dit!!!
    Jean Raspail :
    LA PATRIE TRAHIE PAR LA RÉPUBLIQUE

    J’AI tourné autour de ce thème comme un maître-chien mis en présence d’un colis piégé. Difficile de l’aborder de front sans qu’il vous explose à la figure. Il y a péril de mort civile. C’est pourtant l’interrogation capitale. J’ai hésité. D’autant plus qu’en 1973, en publiant Le Camp des saints, j’ai déjà à peu près tout dit là-dessus. Je n’ai pas grand-chose à ajouter, sinon que je crois que les carottes sont cuites.

    Car je suis persuadé que notre destin de Français est scellé, parce qu’« ils sont chez eux chez moi » (Mitterrand), au sein d’une « Europe dont les racines sont autant musulmanes que chrétiennes » (Chirac), parce que la situation est irréversible jusqu’au basculement définitif des années 2050 qui verra les « Français de souche » se compter seulement la moitié la plus âgée de la population du pays, le reste étant composé d’Africains, Maghrébins ou Noirs et d’Asiatiques de toutes provenances issus du réservoir inépuisable du tiers monde, avec forte dominante de l’islam, djihadistes et fondamentalistes compris, cette danse-là ne faisant que commencer.

    La France n’est pas seule concernée. Toute l’Europe marche à la mort. Les avertissements ne manquent pas rapport de l’ONU (qui s’en réjouit), travaux incontournables de Jean-Claude Chesnais et Jacques Dupâquier, notamment , mais ils sont systématiquement occultés et l’Ined pousse à la désinformation. Le silence quasi sépulcral des médias, des gouvernements et des institutions communautaires sur le krach démographique de l’Europe des Quinze est l’un des phénomènes les plus sidérants de notre époque. Quand il y a une naissance dans ma famille ou chez mes amis, je ne puis regarder ce bébé de chez nous sans songer à ce qui se prépare pour lui dans l’incurie des « gouvernances » et qu’il lui faudra affronter dans son âge d’homme…

    Sans compter que les « Français de souche », matraqués par le tam-tam lancinant des droits de l’homme, de « l’accueil à l’autre », du « partage » cher à nos évêques, etc., encadrés par tout un arsenal répressif de lois dites « antiracistes », conditionnés dès la petite enfance au « métissage » culturel et comportemental, aux impératifs de la « France plurielle » et à toutes les dérives de l’antique charité chrétienne, n’auront plus d’autre ressource que de baisser les frais et de se fondre sans moufter dans le nouveau moule « citoyen » du Français de 2050. Ne désespérons tout de même pas. Assurément, il subsistera ce qu’on appelle en ethnologie des isolats, de puissantes minorités, peut-être une quinzaine de millions de Français et pas nécessairement tous de race blanche qui parleront encore notre langue dans son intégrité à peu près sauvée et s’obstineront à rester imprégnés de notre culture et de notre histoire telles qu’elles nous ont été transmises de génération en génération. Cela ne leur sera pas facile.

    Face aux différentes « communautés » qu’on voit se former dès aujourd’hui sur les ruines de l’intégration (ou plutôt sur son inversion progressive : c’est nous qu’on intègre à « l’autre », à présent, et plus le contraire) et qui en 2050 seront définitivement et sans doute institutionnellement installées, il s’agira en quelque sorte je cherche un terme approprié d’une communauté de la pérennité française. Celle-ci s’appuiera sur ses familles, sa natalité, son endogamie de survie, ses écoles, ses réseaux parallèles de solidarité, peut-être même ses zones géographiques, ses portions de territoire, ses quartiers, voire ses places de sûreté et, pourquoi pas, sa foi chrétienne, et catholique avec un peu de chance si ce ciment-là tient encore.

    Cela ne plaira pas. Le clash surviendra un moment ou l’autre. Quelque chose comme l’élimination des koulaks par des moyens légaux appropriés. Et ensuite ?

    Ensuite la France ne sera plus peuplée, toutes origines confondues, que par des bernard-l’ermite qui vivront dans des coquilles abandonnées par les représentants d’une espèce à jamais disparue qui s’appelait l’espèce française et n’annonçait en rien, par on ne sait quelle métamorphose génétique, celle qui dans la seconde moitié de ce siècle se sera affublée de ce nom. Ce processus est déjà amorcé.

    Il existe une seconde hypothèse que je ne saurais formuler autrement qu’en privé et qui nécessiterait auparavant que je consultasse mon avocat, c’est que les derniers isolats résistent jusqu’à s’engager dans une sorte de reconquista sans doute différente de l’espagnole mais s’inspirant des mêmes motifs. Il y aurait un roman périlleux à écrire là-dessus. Ce n’est pas moi qui m’en chargerai, j’ai déjà donné. Son auteur n’est probablement pas encore né, mais ce livre verra le jour à point nommé, j’en suis sûr…

    Ce que je ne parviens pas à comprendre et qui me plonge dans un abîme de perplexité navrée, c’est pourquoi et comment tant de Français avertis et tant d’hommes politiques français concourent sciemment, méthodiquement, je n’ose dire cyniquement, à l’immolation d’une certaine France (évitons le qualificatif d’éternelle qui révulse les belles consciences) sur l’autel de l’humanisme utopique exacerbé. Je me pose la même question à propos de toutes ces associations omniprésentes de droits à ceci, de droits à cela, et toutes ces ligues, ces sociétés de pensée, ces officines subventionnées, ces réseaux de manipulateurs infiltrés dans tous les rouages de l’Etat (éducation, magistrature, partis politiques, syndicats, etc.), ces pétitionnaires innombrables, ces médias correctement consensuels et tous ces « intelligents » qui jour après jour et impunément inoculent leur substance anesthésiante dans l’organisme encore sain de la nation française.

    Même si je peux, à la limite, les créditer d’une part de sincérité, il m’arrive d’avoir de la peine à admettre que ce sont mes compatriotes. Je sens poindre le mot renégat, mais il y a une autre explication : ils confondent la France avec la République. Les « valeurs républicaines » se déclinent à l’infini, on le sait jusqu’à la satiété, mais sans jamais de référence à la France. Or la France est d’abord une patrie charnelle. En revanche, la République, qui n’est qu’une forme de gouvernement, est synonyme pour eux d’idéologie, idéologie avec un grand « I », l’idéologie majeure. Il me semble, en quelque sorte, qu’ils trahissent la première pour la seconde.

    Parmi le flot de références que j’accumule en épais dossiers à l’appui de ce bilan, en voici une qui sous des dehors bon enfant éclaire bien l’étendue des dégâts. Elle est extraite d’un discours de Laurent Fabius au congrès socialiste de Dijon, le 17 mai 2003 : « Quand la Marianne de nos mairies prendra le beau visage d’une jeune Française issue de l’immigration, ce jour-là la France aura franchi un pas en faisant vivre pleinement les valeurs de la République… »

    Puisque nous en sommes aux citations, en voici deux, pour conclure : « Aucun nombre de bombes atomiques ne pourra endiguer le raz de marée constitué par les millions d’êtres humains qui partiront un jour de la partie méridionale et pauvre du monde, pour faire irruption dans les espaces relativement ouverts du riche hémisphère septentrional, en quête de survie. » (Président Boumediene, mars 1974.)

    Et celle-là, tirée du XXe chant de l’Apocalypse : « Le temps des mille ans s’achève. Voilà que sortent les nations qui sont aux quatre coins de la terre et qui égalent en nombre le sable de la mer. Elles partiront en expédition sur la surface de la terre, elles investiront le camp des saints et la ville bien-aimée. »

    Jean RASPAIL

  • Gwalchavad , 13 juillet 2013 @ 22 h 31 min

    Les fachos ne sont pas ceux que vous dites. Vu ce que l’on subit au quotidien, je nous trouve encore bien tolérants, trop car cela nous perdra. C’est effectivement désolant que tout le monde finisse par être mis dans le même panier, mais les fréquentables sont quand même minoritaires. De plus combien se soucient de la France ? Leur coeur bat en priorité pour leur pays d’origine. Nos ancêtres ne se sont pas battus pendant des siècles pour que des coucous nous volent le nid sous le nez.

  • Gwalchavad , 13 juillet 2013 @ 22 h 36 min

    Pas de prières pour les sectes d’assassins

  • monhugo , 13 juillet 2013 @ 22 h 56 min

    Ah que j’aime le “…vous paressez débile”. Tout un programme !

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