La LMDE donne un gros coup de main au film homosexualiste «La vie d’Adèle»

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  monhugo , 15 octobre 2013 @ 15 h 02 min

  Ai vu “La Vie d’Adèle” hier. C’est un beau ratage cinématographique, et un produit honteusement formaté. Kechiche a (pour moi) réalisé là son film le plus mauvais – que le jury cannois l’ait récompensé, et qui plus est avec la Palme d’Or, étant de l’ordre du logique, puisque, depuis un bon moment, le festival donne nettement dans le politique. Et bien sûr, le “politiquement correct”. Imaginez une sorte de “Feux de l’amour” à la sauce tribade (mais avec une pincée – premières 45 minutes – de coït “tradi” (H/F), précédé d’une petite séance d’onanisme “artistique”). Il y a évidemment LA scène saluée par la boboïtude : le saphisme TP, vu par un hétéro voyeur, tendance “suçages” et “frottements” divers – 7 minutes (montre en main) “artistiques” à nouveau, ou “voyez les belles positions de ces dames lesbiennes – tout ce qu’on peut faire, pénétrations mises à part, entre 2 filles”). Et quelques figures obligées de complément, comme défilé CGT et gay pride lilloise (la scène est en effet dans la métropole du Nord), virée(s) dans les bars “gay” – chez les invertis “mâles” d’abord, puis femelles ensuite.
  Mise en scène paresseuse (et tape-à-l’oeil) à base de très gros plans (ne nous épargnant ni la sauce tomate dégoulinant sur les mentons – plusieurs séquences, ni la morve d’Adèle – récurrente, ni surtout sa bouche ouverte à demi en permanence, ce qui est supposé “sexy”, mais vient à l’évidence soit d’une orthodontie négligée de l’interprète – 2 dents de lapin qui avancent empêchant la bonne occlusion, soit de végétations persistantes), caméra qui tangue à gogo, ellipses gênantes et injustifiées, montage d’une platitude totale, dialogues puant l’artifice, histoire convenue (seule originalité : “romance” de 2 filles) qui tient sur une feuille (de PQ)…… Les 2 “héroïnes” ne sauvant même pas le tout (3 heures d’ennui total) par une interprétation notable des actrices concernées – “dentsdelapin” Exarchopoulos et l’icône bobo Seydoux étant bien mauvaises.
  En bref, ce n’est même pas “homosexualiste” (en dépit de quelques notes ad hoc, comme Emma/Seydoux se mettant en ménage avec une autre amante, et disant à l’abandonnée, Adèle, qu’elle a trouvé sa famille, la nouvelle “chérie” étant grosse de quelque “donneur” de sperme), c’est surtout NUL. Au moins, “L’Inconnu du Lac”, objet d’une ancienne polémique “affichée”, racontait-il quelque chose, lui.
  Je dois à la vérité de dire que la salle était pleine, et attentive. Mais Paris est plein de bobos formatés….
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  Gisèle , 17 octobre 2013 @ 10 h 24 min

  Une saloperie de plus jetée en pâture aux * pauvres * , quoi !
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  Gisèle , 17 octobre 2013 @ 10 h 25 min

  * Pauvres * frustrés et aveugles .

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