Le CSA ne veut pas que le grand public voit à la télévision les yeux ouverts de Vincent Lambert

49 Comments

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  Anne Lys , 14 juin 2015 @ 22 h 06 min

  L’aspect économique joue certainement un rôle important. Mais il ne pourrait pas le jouer si, depuis les fameuses « Lumières » et la Révolution, il n’y avait pas une fraction importante de l’opinion pour qui la vie humaine a perdu le caractère sacré qu’elle tenait de la nature d’”enfant de Dieu”, destiné à être sauvé par la mort et la Résurrection du Christ, qui est celle de tout être humain, riche ou pauvre, malade ou en bonne santé, jeune ou vieux, enfant à naître désiré ou non, même infirme, lourdement handicapé, atteint dans son intelligence par une maladie neurologique ou mentale, etc.

  L’idée que seule la vie en pleine possession de tous ses moyens est digne d’être vécue et qu’il vaut mieux y mettre fin pour « mourir dans la dignité » fait, depuis maintenant des décennies, l’objet d’un matraquage médiatique incessant, parce que les principaux médias sont sous la domination de ceux pour qui précisément, la vie humaine n’a pas de valeur en soi parce qu’ils ont perdu la notion de l’éminente dignité de tout être humain quel que soit son état. Pourtant, si l’on suivait leur raisonnement, Goering ou Goebbels ou les gardiens SS qui pétaient de santé étaient infiniment plus dignes que les déportés squelettiques et pouilleux qui mouraient dans les camps.

  Si nous voulons bien nous souvenir que l’être humain ne peut pas perdre sa dignité intrinsèque, quelles que soient les circonstances, l’idée qu’il faut mettre fin à la vie de ceux qui ne peuvent profiter pleinement de la vie pour qu’ils puissent « mourir dans la dignité » nous apparaîtrait ce qu’elle est : absurde. Et, devant la désapprobation générale, il serait beaucoup plus difficile pour ceux qui veulent cette mise à mort pour des raisons financières de la pratiquer.
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  Jacques Arthur , 15 juin 2015 @ 6 h 58 min

  Le pas en arrière n’est pas si grand, quelques dizaines d’années : le nazisme .
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  Jacques Arthur , 15 juin 2015 @ 7 h 02 min

  Nous pensons la même chose.
  Notre devoir de chrétien,moral pour un non chrétien est de le communiquer.
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  Trahi , 15 juin 2015 @ 9 h 33 min

  Tout cela est très NORMAL. Une grande partie de la population FRANCAISE ( et mondiale) est sous influence diabolique et ils ont élu un antichrist avec son pouvoir maléfique et ses adjoints au service de la bête qui veut règner sur le monde…La MORT est le seul objectif de Satan pour contrarier DIEU…Tous les moyens lui sont bons et nous en avons les preuves tous les jours, l’ESPRIT du mal est bien présent sur la terre et ce mal n’est pas loin de régner sur le monde!!!!
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  Marino , 17 juin 2015 @ 18 h 35 min

  Vincent Lambert : l’aveu du ministre

  Communiqué des avocats des parents de Vincent Lambert :

  “Ce 16 juin 2015, devant la représentation nationale au Sénat, Madame le Ministre de la Santé, après avoir à deux reprises publiquement pris parti pour Madame Rachel Lambert, a officiellement reconnu :

  • Que Vincent Lambert « n’est pas en fin de vie, il faut le préciser »,

  • Que « l’expression de la volonté de Vincent Lambert fait l’objet d’interrogations et de débats ».

  C’est là un aveu, de la part du Gouvernement, que son analyse devant la Cour européenne des droits de l’Homme de la situation médico-juridique de Vincent Lambert était erronée. Non, Vincent Lambert n’est pas en fin de vie, et arrêter son alimentation et son hydratation revient à une euthanasie. Non, à ce jour, aucune preuve sérieuse de la volonté de Vincent Lambert n’a été apportée. Les seuls éléments étaient des interprétations de sa prétendue volonté.

  Depuis maintenant deux ans, l’épouse de Vincent Lambert a quitté Reims pour refaire sa vie en Belgique. Désormais, après cet aveu, il n’est plus possible d’engager une nouvelle procédure collégiale aux fins d’arrêt de l’alimentation et de l’hydratation au motif des prétendues volontés de Vincent LAMBERT dont Madame le ministre de tutelle du CHU de REIMS reconnaît elle-même qu’elles font l’objet « d’interrogations et de débats ». On ne peut invoquer la prétendue volonté d’un homme pour provoquer sa mort quand ses volontés sont déclarées incertaines par le supérieur hiérarchique direct du CHU de REIMS.

  Dès lors, le transfert de Vincent LAMBERT vers l’établissement spécialisé qui lui a réservé une place et qui l’attend est la seule solution éthique, médicale, juridique et humaine. Nous attendons la réponse du CHU de REIMS à la demande que nous lui avons faite en ce sens au nom des parents de Vincent, qui sont quotidiennement au chevet de leur fils.”
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  IF , 3 juillet 2015 @ 18 h 53 min

  La culture de la mort de notre société qui veut tout diriger, décider, qui doit naître ou mourir. Qui sont-ils donc pour décider que quelqu’un doit mourir ? Auraient-ils de droit de vie ou de mort sur autrui ?? C’est d’une gravité extrême ! La pensée unique s’impose comme seule vérité alors qu’elle n’est que mensonges grossiers…. Vigilance, vigilance

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