The New Yorker rapporte cette sortie de Barack Obama à Vladimir Poutine, jeudi à Saint-Pétersbourg, devant des journalistes :
« Écoute, je ne parle pas seulement à propos de Snowden et de la Syrie. Qu’en est-il des Pussy Riot ? De tes lois anti-homosexuels ? Ce sont des comportements d’âne, mon ami. Et si tu penses que je suis le seul qui pense de cette façon, tu te trompes. Demande à Angela Merkel. Demande à David Cameron. Demande au gars turc (sic). Chacun d’entre eux pense que tu es un connard.”
Seuls ces propos ont été rapportés mais la tirade haineuse durera dix minutes.
Gardant son sang froid, Vladimir Poutine ne répond rien. Un peu plus tard dans la journée, le Kremlin publie un communiqué officiel qui cite le Président russe : « Je devrais avoir peur de cet homme maigre ? Je lutte contre les ours, moi.”
Notre président-porcinet semble quant à lui compter pour zéro…
Addendum 17h45 : L’article du New Yorker est signé Andy Borowitz, un spécialiste de l’info fausse… mais drôle. Enfin, il paraît.
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