Oregon : des transsexuels militants rackettent un gérant de bar à hauteur de 400 000 dollars

Portland (Oregon). Chris Penner, le propriétaire d’un bar (The Twilight Room Annex, auparavant le P-Club) vient d’être condamné à verser 400 000 dollars de dommages et intérêts à un groupe de transsexuels surnommé les “T-Girls” (photo ci-contre) qu’il a tenté de décourager de revenir chez lui sous prétexte qu’ils nuiraient à son entreprise.

En effet, depuis plus d’un an, ces clients pas comme les autres s’y retrouvaient le vendredi soir. Un jour, Cassandra, un membre du groupe en question, a reçu un message vocal du propriétaire lui demandant de ne pas revenir avec son groupe d’amis car, expliquait-il, les clients se mettent à penser que son établissement est un bar gay ou transsexuel et ne viennent plus ce soir de la semaine, ce qui entraîne des pertes financières. Un comportement manifestement contraire à la très répressive législation anti-discrimination (dite loi sur l’égalité) en vigueur depuis 2007 dans l’Oregon, un État réputé social-démocrate et progressiste.

Résultat, chaque membre du groupe recevra entre 11 000 et 50 000 dollars afin de réparer le préjudice subi tandis que Cassandra touchera 55 000 dollars en dédommagement de la souffrance “émotionnelle, mentale et physique” (sic) causée par le message vocal. Penner devra aussi payer 5 000 dollars d’amendes. Penner, qui a déclaré regretter son message vocal et n’avoir pas eu l’intention d’exclure le groupe de transsexuels de son établissement, n’a pas encore indiqué s’il allait interjeter appel de cette décision.

KPTV – FOX 12

Lire aussi :
> En Écosse, une militante LGBT fait condamner lourdement un opposant à la dénaturation du mariage

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40 Comments

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  • SUPERBE!!! , 5 septembre 2013 @ 21 h 51 min

    Satan l’habite,c’est clair et net.

  • Frédérique , 5 septembre 2013 @ 22 h 36 min

    Des lois injustes (lois contre les discriminations) et tout au moins en France, anticonstitutionnelles qui privent les honnêtes gens de la pleine jouissance de leurs biens (ici un bar), de leur liberté de penser (ici de préférer sa clientèle normale à celle des transsexuels, les derniers faisant fuir les premiers) et permettent à des minorités d’extorquer des fonds (racket) par le biais des tribunaux, sous la contrainte (le proprio n’ayant comme choix que la condamnation ou la perte de sa clientèle et peut-être la ruine).
    Pas de titre racoleur, que des faits.

  • GV , 6 septembre 2013 @ 7 h 17 min

    A t on encore le droit de penser ce que l’on veut ?
    Je hais les …. les … et aussi et surtout les …
    C’est permis ça dans notre république ?

  • Yaki , 6 septembre 2013 @ 7 h 42 min

    Quelqu’un l’a déjà souligné : le terme de “racket”.

  • Yaki , 6 septembre 2013 @ 7 h 43 min

    Non.

  • Frédérique , 6 septembre 2013 @ 9 h 28 min

    Vous n’avez PLUS le droit de penser, mais vous pouvez encore le faire, ils n’ont pas encore réussi à lire dans les pensées. C’est bien pour cela, qu’ils veulent que ce soit l’état qui éduque les enfants à la place des parents (comme avec la théorie du genre) pour leur faire dés le plus jeune âge un lavage de cerveau digne des meilleurs camps de rééducation communiste. Le peuple n’a pas besoin de penser, il est juste là pour payer et travailler. Un peuple qui pense est dangereux pour l’oligarchie qui commande, il peut désobéir.

  • Républicain non aliéné , 6 septembre 2013 @ 11 h 39 min

    Ce n’est pas un mensonge mais une figure de style, une image appropriée pour une affaire comme celle-ci.

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