Le quotidien conservateur allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung dévoile dans un article du 29.04.2013 publié dans son édition papier du week-end, que le militant d’extrême-gauche et eurodéputé des Verts allemands aurait demandé l’interdiction jusqu’en 2031 de l’accès aux archives du parti le concernant. D’après le journal allemand, les archives de la fondation Heinrich-Böll contiendraient environ 40 tomes de dossiers du parti vert allemand. Sur ces 40 tomes, deux sont interdits d’accès : ils concernent Daniel Cohn-Bendit et un autre député dont le nom n’est pas donné. Les documents tenus confidentiels concerneraient notamment la correspondance qu’il a eu à propos de son livre « Le Grand Bazar » dans lequel il décrit ses attouchements sexuels avec des enfants de cinq ans alors qu’il travaillait dans une école maternelle de Francfort sur le Main.
Pour le journal allemand, cela ne suffira pas à Daniel Cohn-Bendit pour se protéger contre la polémique sur son passé trouble et son apologie de la pédophilie dans les années 70-80. Il existerait en effet de nombreux textes publiés à l’époque par le magazine gauchiste Pflasterstrand dans lesquels Daniel Cohn-Bendit et ses amis de la frange d’extrême-gauche des Verts allemands vantaient la pédophilie.
Jusqu’au milieu des années 80, les Verts demandaient en Allemagne la suppression du paragraphe 176 du code pénal allemand qui concerne les actes sexuels avec les enfants. Plusieurs militants verts radicaux promouvaient ouvertement la pédophilie, ce qui ne les empêchait pas d’être présents aux congrès du parti.
Lundi, le journal Le Parisien informait que Daniel Cohn-Bendit avait décidé de renoncer à un prix pour éviter la polémique sur ses déclarations pédophiles des années 70-80 (lire l’article).
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