La ville d’Amiens (à majorité UMP-UDI) a décidé de ne pas renouveler la traditionnelle subvention de 1800 euros en tant que porteur du projet RESF, somme représentant près de 80 % du budget employé par le réseau pour son militantisme immigrationniste.
Jeudi soir, lorsque la conseillère municipale, Pascaline Annoot, s’est exprimée sur le sujet et a protesté contre ce changement, au nom des groupes communiste, EELV et PS, elle s’est entendue répondre par l’adjointe au maire que l’ancienne municipalité de gauche utilisait 10% du budget du Centre communal d’action social pour aider des personnes en situation irrégulière, sans prendre en compte les pauvres de nationalité française. « C’est une posture d’extrême-droite », commente Marcel Dekervel, vice-président de la section d’Amiens de la LDH, pour L’Humanité. Le bon sens serait-il d’extrême-droite ?
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