A Marseille, de nombreux chantiers sont les cibles de racket. Il y en aurait une cinquantaine en particulier dans les quartiers sensibles où des caïds demandent 30.000 euros en échange de la protection du site. Intimidations, violences, les ouvriers travaillent la peur au ventre. “Imaginez un salarié qui se retrouve avec des gens autour de lui qui lui disent ‘on peut vous tirer dessus, vous tabasser’. C’est complétement invivable”, explique Philippe Deveau, patron de BTP. La situation est devenue tellement préoccupante que le parquet vient de mettre en place une cellule spéciale, pour protéger les entreprises.
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