Sur le site internet de la radio publique Le Mouv’ (0,5% d’audience cumulée), Vincent Glad s’interroge : “Peut-on vraiment débattre sereinement sur Twitter ?” avant de déplorer “une dictature des indignés” : “C’est à celui qui criera le plus fort et on n’entend plus beaucoup les discours modérés” raconte le chroniqueur qui note que “le débat se perd dans une inception infinie dans laquelle personne n’est jamais légitime pour s’exprimer, ne cumulant pas assez de discrimination : une féministe cis (sic !) blanche est moins légitime qu’une féministe cis noire, elle-même moins légitime qu’une féministe trans noire.” Bref, on est chez les fous et Glad, en employant complaisamment la sémantique militante des militants LGBT (qui considèrent qu’une personne non-transgenre, c’est-à-dire une personne normale, est “cisgenre”, un peu comme une personne non-homosexuelle, c’est-à-dire une personne normale est “hétérosexuelle”) participe au délire collectif dont il regrette pourtant les effets sur Twitter et qui rendent impossible la vie en société…
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