Lundi, à Valenciennes, un homme de 34 ans qui avait fait l’apologie, en état d’ivresse, de l’attentat perpétré par les frères Kouachi a été condamné à quatre ans de prison, la plus lourde condamnation pour apologie du terrorisme depuis les attentats. Une dizaine d’affaires sont déjà jugées ou en cours de jugement. S’il est commis sur Internet, ce délit peut être puni de sept ans de prison et 100 000 euros d’amende. La liberté d’expression survivra-t-elle au terrorisme islamiste ? Allons-nous devoir devenir une copie de l’Etat islamique afin de pouvoir écraser l’original ? Dans ce cas, à quoi bon ?
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