Un ancien juge de la Cour constitutionnelle allemande : Angela Merkel viole la constitution du pays en refusant de protéger ses frontières

Olivier Bault
12 janvier 2016
Latest Update: 12 janvier 2016 21 h 51 min
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Udo di Fabio est un juriste allemand, juge du Tribunal constitutionnel fédéral de 1999 à 2011. Dans un rapport commandé par la CSU, le parti frère en Bavière de la CDU d’Angela Merkel, il rappelle que le gouvernement fédéral est tenu par la constitution allemande de se charger de la sécurité des frontières du pays si les institutions européennes font défaut. M. di Fabio, qui est lui-même né dans une famille d’immigrés, précise que l’énorme afflux d’immigrants et la suspension de la Convention de Dublin obligeant ceux-ci à demander l’asile dans leur pays d’arrivée dans l’UE imposait au gouvernement allemand l’obligation de reprendre le contrôle de ses frontières, ce qu’il n’a pas fait. Par son inaction, le gouvernement d’Angela Merkel viole la constitution allemande.

Par contre, écrit le juriste dans son rapport, la constitution allemande n’impose pas la protection de toutes les personnes dans le monde en leur permettant d’entrer sur le territoire allemand, ce qui est la politique actuelle du gouvernement.

Or, la constitution allemande précise que les citoyens ont le droit de résister à toute personne cherchant à violer l’ordre constitutionnel allemand s’il n’existe pas d’autre solution. Indépendamment de ce droit des citoyens allemands à résister à un gouvernement qui persiste dans la violation de la loi fondamentale du pays, plusieurs centaines de citoyens ont écrit au Parquet fédéral de Karlsruhe pour exiger une enquête officielle sur l’accusation de haute trahison à l’encontre de la chancelière Angela Merkel.

Voilà donc un rapport qui va conforter cette accusation de haute trahison et qui pourrait inciter certains groupes à user de la violence en brandissant la constitution pour mettre fin à l’invasion-colonisation de l’Allemagne.

Sources : Breitbart, N-TV

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Pacific , 12 janvier 2016 @ 22 h 16 min
Une procédure de destitution doit bien exister dans la constitution allemande.
marie-france , 12 janvier 2016 @ 23 h 59 min
j’espére qu’elle ne fera pas de vieux os
pauledesbaux , 13 janvier 2016 @ 7 h 23 min
elle existe dans la constitution française qu’en avons-fait ? tout y est la chaine et la montre pour accuser mholande depuis qu’il tente de gérer ce que nous lui avons donner à gérer, NOUS SOMMES DANS LE ROUGE il est encore là, le rouge est aussi fortement teinté du vert islamique qu’en fait-on ? RIEN 0 PAR BLABLATER SUR LA TOILE pourtant nous avons des armes au sens propre autant qu’au sens figuré qu’en fait-on ? RIEN TOUJOURS? ma
HuGo , 13 janvier 2016 @ 8 h 13 min
c’est aussi assez nouveau et très inquiétant que nos propres responsables violent allègrement les lois fondamentales SANS conséquence pour eux !!!
canalzéro , 13 janvier 2016 @ 9 h 27 min
Merkel comme les autres européistes sont mandatés par les puissances financières ofshores
et hors sol pour assainir l’europe des résistances nationalistes… au profit d’un grand marché ouvert et sans âme : un territoire consommateur complêtement soumis.

L’immigration planifiée en cours sert à assoir ce futur bazar pulsionnel addictif préparé de longue date par les moyens publicitaires et promotionnels adéquats.

Il ne reste qu’à se constituer auprès d’une haute cour de justice.
Bjam , 13 janvier 2016 @ 9 h 35 min
Qu’ils y parviennent serait même pour nous une excellente nouvelle, n’y a-t-il rien dans notre propre constitution qui nous protège de la même manière et vaille les tribunaux aux traîtres (qui haïssent la France et les Français) qui nous “dirigent”/ont mis sous dictature ?
Voyageur , 13 janvier 2016 @ 10 h 59 min
La Constitution de la cinquième république française a été violée depuis qu’elle existe. Puisque ceux qui sont chargés de la faire respecter n’ont jamais rien fait et continue de ne rien faire pour la faire respecter. Le droit en France est donc totalement arbitraire et dépend du chef de l’état et du gouvernement en place. Dans d’autres pays on appelle cela une dictature.

S’il doit avoir un jour un “rééquilibrage”, il ne peut se produire que dans le sang. Et ceux qui ont le plus de soucis à se faire et qui peuvent commencer à trembler ce sont bien entendu les dirigeants et toutes les élites. Pour une raison très terre à terre et évidente d’ailleurs, c’est qu’ils sont très peu nombreux par rapport au reste du peuple. Le peuple aura donc le dernier mot parce qu’il est le plus fort. On en revient toujours à la loi de la jungle, la seule qui n’ai jamais été écrite et la seule qu’aucun député n’a eu besoin de voter.