Cécile Duflot veut peu de croissance, mais est accro aux produits des méchantes multinationales capitalistes. Dans sa poche, pas de portable en bambou et peau de chèvre, ce sont bien des dérivés du pétrole et des terres rares transformés par des petits enfants pauvres de Chine et d’Afrique. Pour échanger, la bobo-écolo qui place le Japon dans l’hémisphère sud n’utilise pas non plus des pigeons voyageurs ni des signaux de fumée mais des réseaux sociaux inventés par des multinationales qui se nourrissent de la pub donc de l’incitation à consommer et à polluer. Et puis, vu son tour de hanche, le bio, ce n’est peut-être pas si bon que ça pour la ligne : si tout le monde consommait comme elle, il faudrait au moins 4 planètes !
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