Ex-Lejaby : sans capital, pas de travail

Les ex-Lejaby qui ont monté leur Scop apprennent à leurs dépens que sans capital, sans méchants investisseurs et sans cruelle finance, une entreprise ne fonctionne pas. Pourtant l’entreprise a un carnet de commande bien rempli, mais la trésorerie ne suit pas.

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11 Comments

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  • charles-de , 4 mars 2014 @ 17 h 54 min

    Heureusement bien sûr, l’ARGENT NE PEUT PAS TOUT, mais il peut beaucoup faciliter les choses !

  • xrayzoulou , 4 mars 2014 @ 17 h 59 min

    C’est un monde ! quand on voit des salariés qui veulent défendre leur “pain”, et que même les banques ne veulent pas les aider, alors qu’elles ont un carnet de commande plein !!!!
    C’est vrai que les banques s’en mettent plein les poches sur le dos des petits, mais ce n’est pas moral.
    Je suggère à ces salariées de faire un genre de “téléthon” (ou un “resto du cœur), voir si des artistes acceptent de vous aider pour récupérer de l’argent, il ne faut pas qu’un tel savoir faire s’arrête ou parte ailleurs. Le gouvernement a aussi une grosse responsabilité, avec tout l’argent qu’ils s’attribuent, ils pourraient les aider. Vous pourriez faire des actions et être actionnaires de votre entreprise (si je pouvais vous aider, je le ferai sans états d’âme).

  • ranguin , 4 mars 2014 @ 18 h 23 min

    C’est dur, c’est vrai !
    Mais au moins elles savent ce que c’est qu’un “méchant patron”.
    Elles ont suivi le même chemin, elles ont le même résultat.

  • Gisèle , 4 mars 2014 @ 20 h 37 min

    Elles ne font pas partie d’un certain lobby qui règne en maître sur l’industrie du luxe ( chasse gardée) … elles n’obtiendront rien des banques , toutous à leur mémaître .

  • Gisèle , 4 mars 2014 @ 20 h 39 min

    L’argent va aller chez PSA , pour sa * résurrection * …

  • Longeval , 5 mars 2014 @ 8 h 03 min

    J’ai rarement vu une scop s’en sortir. Dans le bâtiment à la rigueur dans la mesure ou elles bénéficient d’un privilège au niveau des appels d’offres. On ne peut pas être entrepreneur avec une mentalité de salarié chef d’entreprise. C’est comme d’habitude la faute des banque, des lobbies. Le français est incurable

    PS : demandez quel est le salaire de ces dames ? On y trouvera peut être l’explication de leurs difficultes

  • Goupille , 5 mars 2014 @ 10 h 40 min

    J’avais déjà fulminé contre les pourris, sur ce site, qui chantent nananère et ne font que jubiler parce que, quand même, ces prolétaires qui se prennent pour des capitalistes… On ne mélange pas les torchons avec les serviettes…

    Encore un savoir-faire qui disparaît, car tout en France doit disparaître qui ne cadre pas avec le plan de destruction de ce pays…
    Nous supposons que les pourris en question ont les moyens de s’acheter des nanas qui leur font la danse du ventre en “Lejaby Maison”.

    Salauds. Et débiles.

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