Partie 1 : 3 enfants disparaissent tous les jours en France, soit environ 1000 par an
Le 31 mai 2011, alors que vient tout juste d’éclater l’affaire DSK, Luc Ferry, ancien ministre de l’Education nationale, lâche une bombe sur le plateau du Grand Journal : un ministre français aurait été pris au Maroc dans une partouze impliquant des enfants (1).
Qu’est-il advenu de cette affaire, trois ans après ? Eh bien, autant le dire tout net, rien du tout. Comme pour beaucoup et même trop d’affaires de ce type en fait.
Les réseaux pédocriminels ? Des réseaux organisés et structurés, dont l’activité consiste à vendre des enfants, pour certains kidnappés, pour d’autres amenés par leurs propres parents (aussi choquant que cela puisse sembler) à des « clients » à des fins de viols, de tortures et de meurtres, certains de ces actes étant photographiés ou filmés, également pour que cela soit ensuite revendu, sachant que plus l’acte montré est extrême, plus le prix et cher. Qualifiés de « fantasme » ou de « délire complotiste » par certains magistrats, politiques ou policiers appartenant à la Brigade de protection des mineurs, ces réseaux n’en sont pas moins une réalité, exactement comme il en existe pour le trafic de drogue, la prostitution « classique » ou les voitures volées. Le prédateur pédophile, nécessairement solitaire et marginal, est la seule émanation raisonnablement autorisée par « ceux qui savent ».
3 enfants disparaissent tous les jours en France, soit environ 1 000 par an. Où vont-ils ? Que deviennent-ils ? Par ces papiers, qui ne se basent que sur des faits établis, notre but est de montrer à qui peut encore en douter, que ces réseaux existent, même si les médias n’en parlent quasiment jamais, ou seulement de manière épisodique. Précisons que nous privilégions le terme de « pédocriminel » à celui de « pédophile » dans la mesure où les pratiques en question ne relèvent certainement pas d’un amour pour les enfants mais d’une véritable activité criminelle. Nous n’émettrons du reste aucune accusation ad hominem, mais démontrerons toutefois que ces criminels sont loin d’être des marginaux sans emploi, mais appartiennent, bien plus souvent qu’on ne veut bien nous le dire, à la « bonne société ».
Nous évoquerons en plusieurs partis, la pédocriminalité en tant que revendication libertaire, puis parlerons de différentes affaires ayant ébranlé l’opinion publique, sans que pourtant rien de concret n’en découle. À ce titre, nous terminerons par la complicité des magistrats et des pouvoirs publics.
A suivre…
Note :
1. « Luc Ferry met en cause un ancien ministre »
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